4ème assemblée générale des Nations unies pour l’environnement

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Il s’est tenu du 11 au 15 Mars 2019 à Nairobi, capital de la République du Kenya, la 4ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies sur le climat et l’environnement, organisée par le Programme des Nations unies pour l’environnement (UNEP). Ces assises ont vu la participation de plusieurs chefs d’Etas et de Gouvernements.

La RDC était très attendue au sommet de Nairobi sur l’environnement

La République Démocratique du Congo a été très attendue à ces assises au regard de son potentiel environnemental. Le Chef de l’Etat, son Excellence Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi avait fait le déplacement de Nairobi pour prendre par à ce forum mondial sur l’environnement.  Dans son intervention du haut de la tribune de ces assises, le chef de l’Etat Congolais avait appelé à la sensibilisation et à l’interdiction du déboisement dans la lutte contre la déforestation, ajoutant que la lutte contre le réchauffement climatique doit être permanente. Il avait ainsi martelé le rôle particulier que la RDC a à jouer dans cette lutte.

La particularité de ces assises consistait à faire prendre conscience au monde de la nécessité de se pencher sur les questions environnementales sous tous ses aspects, notamment avec un accent particulier sur l’agriculture, la gestion des déchets plastiques et le recyclage des matières non biodégradables.

Les débats au cours de ces assises avaient porté notamment sur les innovations à apporter dans la lutte contre le fléau mondial du déboisement et les alternatives à envisager pour la transformation de tout ce qui détruit l’environnement. S’agissant des matières non-biodégradables, pensent les experts, la solution reste leur recyclage.

La République Démocratique du Congo a été très attendue à ces assises au regard de son potentiel environnemental. Le Chef de l’Etat, son Excellence Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi avait fait le déplacement de Nairobi pour prendre par à ce forum mondial sur l’environnement.  Dans son intervention du haut de la tribune de ces assises, le chef de l’Etat Congolais avait appelé à la sensibilisation et à l’interdiction du déboisement dans la lutte contre la déforestation, ajoutant que la lutte contre le réchauffement climatique doit être permanente. Il avait ainsi martelé le rôle particulier que la RDC a à jouer dans cette lutte.

La particularité de ces assises consistait à faire prendre conscience au monde de la nécessité de se pencher sur les questions environnementales sous tous ses aspects, notamment avec un accent particulier sur l’agriculture, la gestion des déchets plastiques et le recyclage des matières non biodégradables.

Les débats au cours de ces assises avaient porté notamment sur les innovations à apporter dans la lutte contre le fléau mondial du déboisement et les alternatives à envisager pour la transformation de tout ce qui détruit l’environnement. S’agissant des matières non-biodégradables, pensent les experts, la solution reste leur recyclage.

Dans le cadre de l’accord de Paris sur le climat, les Etats avaient pris l’engagement de renforcer l’intervention internationale pour contrer la menace du changement climatique et maintenir une hausse mondiale de la température en-deçà de 2 ° C et poursuivre les efforts visant à limiter la hausse des températures à 1,5 ° C. Les engagements actuels des gouvernements représentent seulement environ la moitié des mesures nécessaires pour éviter une hausse de température de 2 ° C et seulement un tiers des mesures nécessaires pour limiter le réchauffement à 1,5 ° C. Bien que cet « écart entre les besoins et les perspectives » soit significatif, ONU Environnement suggère qu’il est encore possible de le combler de manière efficace et économique. L’un des principaux contributeurs qui permettra de combler cet écart sont les forêts (https://www.unenvironment.org/fr/news-and-stories/recit/court-terme-les-forets-offrent-une-solution-essentielle-au-changement).

Avec ses 45 millions d’hectares de forêt, la RDC possède la moitié des toutes les forêts du continent africain. La forêt constitue le patrimoine le plus précieux de la RDC, au-delà des mines, des blocs pétroliers etc. Elle constitue un patrimoine renouvelable qui offre une biodiversité riche et surtout contribue à absorber les émissions de carbones et permet ainsi de lutter contre le réchauffement climatique. C’est à ce titre que la politique environnementale de la RDC notamment ses mesures de lutte contre la déforestation intéressent particulièrement ses partenaires.

La mise en œuvre de la norme internationale ISO 14001 – système de management de l’environnement – dans les entreprises et organismes gouvernementaux renforcera sûrement la politique environnementale de la République Démocratique du Congo

 

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